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Gabriel Attal nommé ministre de l’éducation nationale : dérapage total sur Twitter d’un homme politique après l’annonce !

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Ce jeudi 20 juillet 2023, Emmanuel Macron a annoncé un nouveau remaniement au sein de son gouvernement. Nous avons ainsi découvert qu’Élisabeth Borne conserve son prestigieux poste de Première ministre tandis que Marlène Schiappa quitte le gouvernement et abandonne ainsi son poste de secrétaire d’État.

Si Bruno Le Maire garde son statut de ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et Numérique et que Gérald Darmanin conserve son poste de ministre de l’Intérieur et des Outre-mer, Gabriel Attal lui, a été nommé ministre de l’éducation nationale, en remplacement de Pap Ndiaye. Aussi, Rima Abdul-Malak demeure ministre de la Culture, tandis qu’Aurélien Rousseau accède quant à lui au poste de ministre de la Santé et de la Prévention.

Très rapidement, les réactions ont été nombreuses sur les réseaux sociaux, notamment au sujet de la nomination de Gabriel Attal au poste de ministre de l’éducation nationale. Beaucoup d’internautes sont en effet soucieux de voir un homme n’ayant mis les pieds dans une école publique, devoir gérer les problématiques actuelles au sein des collèges, des lycées ou encore des universités…

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« Le passage du woke au LGBT »
Mais au lendemain de cette nomination, c’est un tweet, toujours concernant Gabriel Attal qui se livre désormais sans gêne sur son homosexualité, qui choque au plus haut point. Surpris par cette désignation, Philippe de Villiers, homme politique de 74 ans qui a été secrétaire d’État, adhérent du Parti Républicain et député européen, a en effet déclaré : « La nomination de Gabriel Attal pour remplacer Pap Ndiaye est la catastrophe de l’été : c’est le passage du woke au LGBT. Attal est un militant, un membre éminent du groupe Bilderberg (un groupe d’influence mondial, composé de personnalités du monde économique ou politique, NDLR) partisan de la rééducation nationale. Macron a rendu son devoir de vacances : changer de société ».

Des mots qui ne passent pas au sein de l’opinion publique puisque Phillippe de Villiers, se retrouve désormais accusé d’homophobie notamment par une multitude d’élus de gauche. « L’homophobie n’est pas une opinion mais un délit » a ainsi analysé Olivier Faure, premier secrétaire du Parti Socialiste (PS) et député de la Nupes. « Rance, homophobe, complotiste : l’attaque de De Villiers est le condensé de toutes les dérives actuelles. Qu’on se ressaisisse et qu’on comprenne d’où vient le réel danger pour la République » a quant à lui affirmé Éric Coquerel, député de La France insoumise (LFI) et président de la Commission des Finances.

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« On a le droit de ne pas être macroniste. D’être homophobe par contre, non » a quant à elle déclaré Marine Tondelier, secrétaire nationale d’Europe Écologie les Verts (EELV). « Nul ne doit être injurié ou discriminé en raison de ce qu’il est. C’est au moins maladroit et au pire abject » lance de son côté le membre du Rassemblement national, Tanguy David. Le tweet de Philippe de Villiers qui selon certains, devrait être supprimé, a déjà été vu plus d’un million de fois sur Twitter.

ES

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