« Une âme malveillante », « Me descendre pour l’audience », « Émission complètement truquée », sacrément remontée contre Patrick Sabatier, Chantal Goya le détruit !

Un passage qu’elle n’a toujours pas oublié… Le 13 décembre 1985, alors qu’elle vient tout juste de chanter dans une salle de spectacle à Lyon, Chantal Goya

participe dans la foulée au Jeu de la véritéde Patrick Sabatier. Si la compagne de Jean-Jacques Debout a été ravie de l’invitation au départ, elle a vite déchanté au fil de la soirée.

De passage dans Les orages de la vie de
Christophe Dechavanne

ce mardi 3 octobre 2023 sur RTL-TVI, la chanteuse de 81 ans va revenir sur cette soirée cauchemardesque pour elle. Elle a d’ailleurs
déjà vidé son sac

au sujet du Jeu de la vérité et Patrick Sabatier lors d’un entretien accordé à nos confrères de Ciné Télé Revue

. Pour elle, il s’agit d’une émission « bidon, ridicule, avec des gens derrière leur téléphone qui agissaient comme des harceleurs ». Elle assure également que « l’émission était complètement truquée ». « Il fallait me descendre pour faire de l’audience », peste-t-elle en prenant pour exemple l’enseignante qui l’a « agressée » qui ne serait pas une « vraie institutrice » selon ses dires : « J’ai appris il y a un mois par l’assistante de Rika que cette pseudo-pharmacienne était en fait la même femme qui s’était fait passer pour une institutrice avec moi ».

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Chantal Goya en veut à Patrick Sabatier, mais le « remercie » malgré tout

Chantal Goya regrette aussi le fait de ne pas avoir pu se changer pour assister au programme. Alors qu’elle avait « pourtant acheté une robe de ville pour l’émission », mais « Sabatier n’a pas voulu » qu’elle retire sa tenue Marie-Rose. Cela l’aurait empêchée d’être « à égalité face aux adultes » qui l’attaquaient d’après elle : « Si on m’a demandé de garder cette robe, c’était pensé, le but de l’émission était de me démolir ».

Malgré tout,
la compagne de Jean-Jacques Debout

retient du positif de son passage dans Le Jeu de la vérité. En effet, cette émission lui aurait « permis de [se] reposer, alors qu’[elle] enchaînait les galas ». De plus, sa participation lui aurait également offert l’opportunité de savoir qui étaient ses « vrais amis ». « Et il n’y en a pas eu beaucoup qui m’ont soutenue : les Carpentier, Yves Mourousi et Albert Emsalem d’Europe 1 », a-t-elle toutefois regretté, toujours aussi remontée qu’en 1985.

R.F