Connect with us

Divertissement

« Écoutez, on ne va pas pinailler la dessus », dans « C à vous », Gabriel Attal monte au créneau au sujet des punaises de lit à l’école !

Published

on

Depuis plusieurs jours, les punaises de lit sont sur la bouche de tout le monde, et l’on entend parler d’elles sur tous les plateaux télé ! A tel point que Cyril Hanouna et Guillaume Genton ont même décidé de co-produire un documentaire consacré à ces petits nuisibles, et qui sera à retrouver sur C8 en prime le 24 octobre 2023 et baptisé « La grande invasion ». Invité de C à vous ce vendredi 6 octobre 2023 quelques instants après avoir assisté aux funérailles du journaliste Jean-Pierre Elkabbach, le ministre de l’Éducation nationale Gabriel Attal, venu évoquer les nouvelles mesures prises contre le harcèlement scolaire, mais aussi celles qu’il entend mener sur la réforme des collèges et notamment la suppression éventuelle des classes au profit de groupes de niveaux.

Interrogé par Anne-Elisabeth Lemoine sur les punaises de lit qui inquiètent les autorités publiques et qui agacent les groupes privés comme la RATP et la SNCF, l’homme politique s’est montré quelque peu agacé par l’inquiétude générale que vivent les Français au sujet de ces nuisibles qui ne sont vecteurs d’aucune maladie, et qui ne provoquent que quelques démangeaisons : « Je comprends les inquiétudes à la fois des enseignants, des élèves et des familles. Quand on voit ce que c’est les punaises de lit, effectivement, on n’a pas envie d’en avoir chez soi, et on n’a pas envie quand on est parents que les enfants en ramènent de l’école » a débuté Gabriel Attal.

Lire Aussi  Greg Yega : il tacle Maeva Ghennam en plein concert

« Détecter, isoler et traiter »

Et de poursuivre : « J’ai décidé en début de semaine d’activer une cellule nationale de suivi sur la situation des punaises de lit dans les écoles. C’est vrai que les cas s’accumulent, il faut mettre en place une réponse immédiate ». Aujourd’hui, 17 établissements scolaires sont recensés comme étant infestés par les punaises de lit, et sept d’entre eux sont même fermés. Mais quid des frais que représentent les désinfections ? A ce sujet, Gabriel Attal s’est montré intraitable avec ses services, et a tenu à se montrer solidaire avec les établissements concernés : « J’ai dit à mes services : on va pas pinailler là-dessus. A un moment, si on ne trouve pas qui paye, c’est le ministère qui règlera la note, car on ne peut pas accepter de signer des situations comme ça se répandre ».

Advertisement

Á La Une