Anouchka Delon balance sur Hiromi Rollin et dévoile la réaction qu’elle a eue au moment de l’AVC d’Alain Delon : « Je vais leur foutre un procès ! »

Le conflit médiatique et judiciaire qui oppose la fratrie Delon à la dame de compagnie de leur père Hiromi Rollin n’est pas prêt de se conclure par un cessez-le-feu. Ce dimanche 8 octobre 2023, une semaine après la prise de parole de son frère Anthony dans C l’hebdo, Anouchka Delon a choisi TF1 en accordant une interview exclusive à Audrey Crespo-Mara dans 7 à 8. La fille unique d’Alain Delon est revenue à son tour sur les derniers évènements que traverse sa famille, et a fait des révélations inédites et rocambolesques sur celle qui affirme depuis plusieurs mois être la maîtresse du monstre sacré du cinéma français depuis 1989, alors même que Anouchka et Alain-Fabien sont nés en 1990 pour la première et 1994 pour le second.

Accablée par Hiromi Rollin qui affirme qu’elle était la seule à s’occuper au quotidien d’Alain Delon et que ses trois enfants ne venaient le visiter que très occasionnellement, Anouchka conteste, et affirme que la tribu Delon avait pris l’habitude de dîner une fois par semaine ensemble : « Avant qu’il fasse son AVC, on avait pour habitude de déjeuner une fois par semaine ou de dîner. Il venait souvent à la maison. Quand il a fait son AVC, j’étais à son chevet tous les jours » a affirmé la jeune trentenaire. Et de poursuivre, à l’égard d’Hiromi Rollin : « On n’a pas été assez vigilants. C’était quelqu’un qui n’était pas du tout présente dans sa vie avant son AVC. »

« C’est nous la famille ! »

Anouchka Delon retient une scène traumatisante, survenue au moment de l’AVC de son père. Alors qu’il était hospitalisé et admis en réanimation, Hiromi Rollin se serait entrevue avec le compagnon d’Anouchka, auquel elle aurait livré de troublantes confidences : « Il y a quelque chose qui m’a vraiment, vraiment choquée. Quand il se faisait opérer, il y avait moi, il y avait Nathalie Delon (depuis décédée, ndlr), il y avait Anthony, il y avait Alain-Fabien. Il y avait même mes nièces. On était là en famille. C’est nous la famille. Et elle appelait le garde du corps pour dire : Oui je veux venir, je veux venir voir Alain (…) On n’a rien contre elle ! C’est juste que, pour nous, c’était une dame qui travaillait à la campagne. Même l’assistante personnelle de mon père a demandé à venir le voir, on lui a dit : Non, là, c’est la famille ! Vous viendrez en temps voulu le voir« .

« Comment je vais faire s’il lui arrive quelque chose ? »

Et de poursuivre : « Quand elle est arrivée à la clinique, il était en réanimation, ça faisait peut-être 24 heures qu’il était remonté du bloc. Moi j’étais avec mon père à son chevet. Elle prend Julien, mon mari, à part. Elle commence à dire : Oui, moi, ce n’est pas possible. Comment je vais faire s’il lui arrive quelque chose ? J’ai rien. Moi, je ne travaille pas, je n’ai pas d’argent. C’est lui qui me fait vivre. Comment je vais faire ? De toute façon, s’il me donne rien et si les enfants ne me donnent rien, je leur foutrai un procès ! » Des confessions choc, qui interviennent plus de quatre ans après l’AVC d’Alain Delon, et alors même qu’Hiromi Rollin a poursuivi son travail de dame de compagnie auprès de l’acteur pendant toute sa convalescence, en dépit des prétendues déclarations troublantes proférées à Julien Dereims.