« J’ai longuement attendu… » Nolwenn Leroy maman, tendres confidences sur son fils Marin

Il est son bonheur, sa joie, depuis désormais 4 ans. Si la naissance de Marin a été accompagnée de doutes terribles, Nolwenn Leroy a tous les jours le sourire en retrouvant son petit bonhomme, fruit de ses amours avec le tennisman Arnaud Clément. Invitée dans l’émission 50′ Inside, la chanteuse de 39 ans, qui vient de sortir son huitième album intitulé La Cavale, a confirmé que son fils était « une petite tornade » qui avait bouleversé son quotidien dès les premiers instants.

« C’est aussi une étape de la vie, que j’ai longuement attendu, a-t-elle rappelé face à Nikos Aliagas sur TF1. Ca a été longuement réfléchi aussi. Il n’est pas arrivé tout de suite donc c’est vrai qu’il est le centre de mon univers, aujourd’hui. » Relativement pudique dès qu’il s’agit de sa petite famille, Nolwenn Leroy a toutefois décidé de lâcher la bride sur son album La Cavale. Elle chante, au sein de ses onze pistes, les sentiments qu’elle partage avec son compagnon Arnaud Clément – qu’elle n’a pas encore épousé ! – et interprète une jolie balade, Mon beau corsaire, écrite par Benjamin Biolay en hommage à Marin, son petit pirate d’amour.

Dans ses paroles, on comprend que Marin représente beaucoup pour Nolwenn Leroy. Qu’elle vit, qu’elle respire, qu’elle tremble tous les jours pour lui. « On a tous un peu peur de voir nos enfants grandir, expliquait Nolwenn Leroy à Purepeople, le 5 novembre 2021, en pleine promotion de son nouvel album. A la fois on attend que ça, on veut les porter, les voir sortir du nid, qu’ils aient confiance en eux, qu’ils aient des rêves, des passions, qu’il aient soif de vivre, de voyager. Ce n’est pas pour rien si il se prénomme Marin ! Mais à la fois, on est aussi saisis d’une angoisse à l’arrivée d’un enfant qu’on n’a jamais connue avant. Avant, on est angoissé pour soi-même, on n’a pas la responsabilité d’un petit être. Et puis tu n’imagines plus ta vie sans lui, c’est un amour fou et ça fait peur. On est un peu pétris d’angoisses. » Vogue la galère…