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Disparition de Delphine Jubillar : « Je ne suis pas un violeur, un h*mos*xuel », les aveux surprenants de Cédric

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Comprendre son mari Cédric, c’est peut-être comprendre ce qu’il s’est passé dans la nuit du 15 au 16 décembre 2020, quand l’infirmière du Tarn, Delphine Jubillar, a disparu sans laisser de trace. L’expertise dont « Le Parisien » dévoile des extraits montre un personnage déroutant…

Cédric Jubillar rassemble toutes les casquettes du coupable idéal dans la disparition de son épouse Delphine, survenue dans la nuit du 15 au 16 décembre 2020. Le peintre-plaquiste de 34 ans était en procédure de divorce avec sa femme qui avait noué une relation amoureuse avec un autre, il est le dernier à l’avoir vue vivante, son fils aîné a entendu ses parents se disputer et l’entourage de l’infirmière de 33 ans ne cesse de pointer du doigt le comportement inquiétant de l’homme. Incarcéré en détention provisoire pour homicide par conjoint depuis le mois de juin 2021 afin de permettre à l’enquête de se poursuivre sans entrave, il ne cesse toutefois de clamer son innocence. Le Parisien a révélé des extraits de l’expertise psychiatrique qui vient d’être versée au dossier judiciaire. Ils comportent des passages déroutants !

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L’enquête avance, même si aucune trace du corps de Delphine Jubillar n’a été retrouvée. La justice s’attarde en effet sur la personnalité de son mari Cédric pour tenter de comprendre ce qui a bien pu se passer pour qu’une mère très aimante de ses deux jeunes enfants, Louis et Elyah et qui comptait refaire sa vie avec un autre, puisse se volatiliser du jour au lendemain. Les déclarations de l’homme actuellement emprisonné, lors de son expertise psychiatrique, ne sont pas en sa faveur, tant elles sont troublantes. « Je ne suis pas un violeur, une balance, un h*mos*xuel… Je suis un criminel comme les autres« , s’insurge-t-il, sans que l’on sache s’il mesure l’ambiguïté de son propos rapporte Le Parisien.

Trois mois avant, lors de son premier entretien avec l’expert, il se projetait dans une libération sous contrôle judiciaire. Il a même prévenu le médecin qu’il ne répondra pas à une prochaine convocation puisqu’il pourrait habiter alors dans un département éloigné. « Si je suis le meurtrier, il est préférable que je quitte le Tarn « , explique-t-il de façon étonnante. Pour l’heure, toutes ses demandes de remise en liberté ont été refusées. Il s’est dit prêt à faire une grève de la faim si sa prochaine demande lui était refusée.

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Cédric Jubillar reste présumé innocent des faits qui lui sont reprochés jusqu’au jugement définitif de cette affaire.

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