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Julien Doré dégoûté : cette très mauvaise expérience qui l’a fait « gerber »

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À 40 ans, Julien Doré a fait un sacré parcours depuis qu’il a été révélé au grand public en 2007 dans « Nouvelle Star ». Avant de se lancer dans la musique, l’artiste venu d’Alès a fait les Beaux-Arts. Il n’en garde pas le meilleur des souvenirs.

Si on avait adoré titrer sur sa « grosse courgette » dévoilée, Julien Doré ce n’est naturellement pas que ça. Artiste talentueux et toujours là où on ne l’attend pas, le chanteur de 40 ans venu d’Alès a fait un sacré parcours depuis qu’il a été révélé par la Nouvelle Star en 2007. Et avant de se vouer à la chanson, celui qui est devenu jeune papa d’un enfant qu’il protège tout particulièrement, il a fait les Beaux-Arts, de Nîmes. Un cadre « privilégié« , comme il l’avait fait savoir dans les colonnes du Parisien, et dans lequel il ne s’est pas réellement senti à sa place. Au détour d’une interview articulée autour de l’astrologie, pour un podcast Deezer, l’interprète de Nous avait révélé avoir connu certains aspects qui l’ont « fait gerber« .

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Il affirme se « foutre complètement de la hype« . Les Beaux-Arts ont fait parti d’un chemin qu’il a considéré comme une « lutte« , « un chemin de traverse« . Mais ces années n’ont pas été faciles. Car il se souvient : « L’élitisme me faisait gerber dans ces études, parce qu’on regardait mes parents quand ils rentraient dans une galerie« , a déclaré Julien Doré, révélant ainsi qu’ils étaient jugés comme n’ayant pas les codes. Ce rejet de sa famille et de ses proches a été de trop pour l’artiste, cela l’a rendu fou, selon ses propres mots. Le coach de The Voice Kids (qui ne rempilera pas la saison prochaine) y aura passé cinq ans. En mai dernier, il avait annoncé la triste nouvelle de la disparition de sa mère à ses abonnés. « Le monde n’a plus tout à fait la même gueule sans sa maman. Sans elle presque tout s’éteint, fane, fond« , a-t-il partagé.

Ça me rendait fou

Déjà, à l’époque, il mettait en scène sa propre personne, ça n’était donc pas très éloigné de ce qu’il fait maintenant. Et c’est son « ras-le-bol » de l’intellectualisation des choses permanentes, ce qui l’a épuisé, qui aura eu raison de son aventure là-bas. « Ça me rendait fou parce qu’il avait tendance à exclure les gens que j’aimais le plus, ma famille, mes parents, mes amis, et qui n’avaient pas la carte pour y accéder« , a-t-il ainsi déclaré. Et hurler dans un micro lui a donc permis de réunir tout le monde, qui passait le même moment autour d’une bière, a-t-il fait savoir. « J’étais a ma place quand je le faisais« , concluait-il. Il n’a jamais perdu cette envie de rester fidèle à d’où il vient. « À la télévision, j’ai fait une émission populaire, assez vite j’ai travaillé avec des gens comme Christophe, même médiatiquement, je pouvais faire Les Inrocks comme Télé Poche, avait-il analysé. C’était fabuleux de pouvoir parler de ma musique à tout le monde, sans qu’on vienne me faire chier avec le mauvais goût, le bon goût, la hype, la non hype, et ça je l’ai gardé jusqu’au aujourd’hui. »

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