« Vous retirez ça tout de suite ! », Florent Pagny révèle sa brouille avec le gouvernement français

Depuis janvier 2022, Florent Pagny

se bat
contre un cancer des poumons

. Si l’artiste âgé de 62 ans faisait déjà partie
des artistes les plus appréciés

dans le pays, ce combat contre la maladie n’a fait qu’accroître l’amour des Français à son égard. A tel point qu’il a été élu deuxième personnalité des Français en 2023 selon le JDD. 

De fait, nombre de téléspectateurs seront devant France 3 ce vendredi 15 mars 2024 afin de découvrir le documentaire Florent raconte Pagny, dans lequel
le père d’Aël

, justement, retracer sa vie, à travers des images d’archives et de nombreuses anecdotes.

En plus d’évoquer son embrouille avec Johnny Hallyday lors d’un concert au Parc des Princes en 2003, l’interprète de Savoir aimer va aussi raconter l’histoire rocambolesque de son titre culte, Ma liberté de penser. Un morceau qui a vu le jour en mars 2003 et qui a connu un succès monstrueux. Mais cette réussite a visiblement agacé.

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« Ma liberté de penser », le titre qui a causé du tort à Florent Pagny

En effet, quelques heures avant la diffusion du documentaire, Mohamed Bouhafsi a diffusé quelques images du projet lors de
son intervention dans C à Vous

ce vendredi soir. L’occasion de découvrir un aperçu de la folle anecdote liée à Ma liberté de penser. 

« La chanson est sortie et elle cartonne. Et là c’était trop », révèle d’abord Florent Pagny en évoquant le Fisc. « Je les ai énervés et à un moment j’étais l’homme à abattre », a poursuivi le chanteur avant de faire une révélation folle : « Je reçois même un coup de fil du ministère qui me dit ‘Monsieur Pagny ce n’est pas bien hein ! Vous retirez ça tout de suite, il faut retirer ça des ondes. Mais vous rigolez ? Vous êtes en train de m’écrabouiller là. C’est le public qui va choisir. Si ce n’est pas un succès, ben vous allez m’écraser, par contre si ça marche, peut-être ce sera plus difficile' ».

Au final, le morceau est un succès monumental et Florent Pagny remporte sa « bataille » contre ses détracteurs. Bien qu’il ait dû rembourser ses dettes au Fisc des années plus tard. 

R.F