Michel Polnareff : Rare photo du chanteur sans lunettes, un célèbre ami balance !

Avez-vous déjà vu Michel Polnareff sans ses lunettes de soleil ? Le chanteur, qui a fait ses débuts au milieu des années 60, ne se montre en effet plus sans cet accessoire qui fait partie de son personnage et de son costume de scène. Mais il y en a un qui l’a connu à ses débuts… et qui avait même eu la chance de le photographier.

Jean-Marie Périer, âgé de 82 ans aujourd’hui, était en effet le photographe attitré des stars à cette période. Ami de Johnny Hallyday, Jacques Dutronc ou encore Françoise Hardy, l’homme possède aujourd’hui des centaines d’archives que l’on voit rarement. Et ce jeudi, pour ses abonnés sur Instagram, il a ouvert la boite à souvenirs, partageant une photo de Michel Polnareff en 1966, tout juste au début de sa carrière.

S’il était déjà blond, le jeune homme qui caresse un lapin, ne possède pas encore la coupe de cheveux frisée qui a fait son charme ensuite, mais plutôt les cheveux coupés au carré. Semblant plutôt timide, il montre donc son visage entier devant l’objectif, un cliché que Jean-Marie Périer aime beaucoup pour cette raison, selon son commentaire en légende : « Moi, j’aimais bien quand on voyait ses yeux…« 

L’ex-compagnon de Julie Andrieu ponctue ensuite cette photographie d’une citation de Françoise Sagan : « La fête est une chose secrète, sacrée et sacrilège. La fête ne se fait pas avec des plumes dans une boîte de nuit, elle se fait dans le noir avec quelqu’un« . Une phrase pourrait parfaitement s’adapter à Michel Polnareff, qui, après avoir beaucoup provoqué en tenue affriolante et avec des photos parfois déplacées, s’est mis en retrait depuis plusieurs années.

Après avoir frôlé la mort à la suite d’une embolie pulmonaire en 2016, il avait en effet passé plusieurs mois à se reposer avec sa femme Danyellah et leur fils Louka, né en 2010. En 2018, il était revenu avec un nouvel album et prépare cette année une tournée baptisée Polnarêves, qui commencera en mai à Paris. Peut-être Jean-Marie Périer, qui l’a connu si jeune, passera-t-il l’applaudir au Palace…