Connect with us

Divertissement

« Des antidépresseurs pour vivre… » : Florence Foresti à coeur ouvert sur sa santé mentale, bouleversantes confessions sur ses tourments du quotidien

Published

on

En pleine promotion de la série « Désordres » bientôt diffusée sur Canal +, Florence Foresti accordait une interview à Télé Star ce lundi 26 septembre 2022. Une occasion pour l’humoriste de 48 ans d’aborder un sujet sensible : Celui de sa santé mentale.  « Je n’ai pas du tout envie que les gens me connaissent. J’espère juste déculpabiliser ceux qui souffrent de trouble anxieux », a-t-elle expliqué avant de poursuivre : « Soyons indulgents avec nos maladies mentales ! » Celle qui donnait la réplique à Jamel Debbouze dans le film de Frédéric Berthe « Hollywoo », s’est d’ailleurs inspirée de sa propre histoire pour mettre au point son dernier projet.

« Peut-être que si je montre que moi, parfois, il me faut des antidépresseurs pour réussir à vivre, cela va aider les malades », a confié la maman de Toni. En effet, depuis sa plus tendre enfance, la comédienne est touchée par une anxiété sévère. C’est sur le plateau de Quotidien qu’elle s’exprimait récemment sur ce trouble difficile à vivre. Le 12 septembre dernier, elle expliquait avoir eu « envie de parler de ça parce que c’est un mal dont souffrent beaucoup de gens ». « Souvent, ils n’osent pas se soigner ». Elle conseillait d’ailleurs aux gens confrontés à cette situation de prendre les devants, « sinon, on s’isole et on finit enfermés chez soi ».

Lire Aussi  Shanna Kress : son silence depuis son accouchement continue d’inquiéter

« La scène m’a sauvée »

Il y a 10 ans, Florence Foresti s’était confiée sur ses « attaques de panique » dans les colonnes de Psychologies magazine. « Je travaillais dans un bureau comme infographiste et j’ai commencé à faire des attaques de panique qui m’empêchaient littéralement de vivre. Quand je dis que la scène m’a sauvée, c’est un peu romantique mais pas faux. Quand je suis allée à mon premier cours de café-théâtre, j’ai eu une attaque de panique, mais le prof a exigé que je monte sur scène et la crise s’est arrêtée. »

V.B

À voir également :

Advertisement

Á La Une