« Trois enfants avec trois types différents… » : Jane Birkin mise à nu : l’une de ses filles se livre comme jamais !

Pour Jane Birkin, la famille, c’est sacré ! Dans les médias, ses trois filles ont souvent été mises à l’honneur. Comme elle l’a plusieurs fois confié, la star n’a jamais réussi à faire le deuil de Kate, son aînée disparue en 2013 et fruit de son histoire d’amour passée avec John Barry. Outre la photographe, l’interprète de « Di Doo Dah » a aussi eu Charlotte avec Serge Gainsbourg, avant d’agrandir son clan avec l’arrivée de Lou, née de son ancienne relation Jacques Doillon.

Comme ses autres sœurs, la fille du célèbre réalisateur est touche à tout. Comédienne, chanteuse ou encore mannequin pour ne citer que cela, Lou Doillon a plusieurs cordes à son arc. Ce lundi 5 juin 2023, ses admirateurs ont pu découvrir ses nouvelles confidences dans le podcast Bliss Stories comme le révèle « Télé-Loisirs ». Sans filtre, la principale intéressée a levé le voile sur d’innombrables pans de sa vie. Ses souvenirs d’enfance, ses projets ou encore ses relations avec son emblématique maman.

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« Ses amoureux tombaient amoureux de la brochette… »

Pas peu fière de cette dernière, Lou Doillon n’a pas tari d’éloges à son sujet. « Ma mère, Jane Birkin, était l’une des premières femmes à assumer totalement le fait d’être mère dans les années 1970 […] J’ai été embarquée sur les tournées, je vivais en backstage quand elle était au théâtre », a révélé l’ex-compagne de Thomas-John Mitchell.

A sa façon, Jane Birkin l’a également énormément inspirée : « Elle a toujours mis ses enfants dans sa vie professionnelle, elle n’a jamais caché qu’elle en avait et, en plus, elle a eu la liberté d’avoir trois enfants avec trois types différents ce qui était assez dingue à l’époque ». Visiblement, la vie amoureuse de l’icône – constamment décortiquée dans les tabloïds – ne lui a jamais posé le moindre souci. “Mes sœurs ont adoré les parents différents qu’on a eus, tout ça était mis en avant », a ajouté Lou Doillon. « Je pense même qu’au bout d’un moment ses amoureux tombaient amoureux de la brochette, de notre bordel”. C’est dit !

N.B