Nikos Aliagas a-t-il cédé à la chirurgie esthétique ? Cette photo qui veut tout dire !

On le connaît à travers notre poste de télévision, mais dans la vie de tous les jours, c’est derrière un appareil photo que l’animateur phare de TF1 aime se réfugier. Passionné par la photographie depuis de nombreuses années, Nikos Aliagas sort d’ailleurs une livre d’images, « Le Spleen d’Ulysse », qui regroupe les portraits qu’il a capturés lors de ses voyages. À cette occasion, le visage incontournable du PAF était l’invité de Thomas Sotto et de Julia Vignali dans « Télématin » mercredi 21 juin 2023.

L’occasion de parler de son ouvrage et notamment de la couverture de celui-ci : le portrait en noir et blanc d’un homme âgé dont le visage est marqué par le temps. « J’aime les gens qui acceptent le temps qui passe sur leur visage », a expliqué Nikos Aliagas sur le plateau de la matinale de France 2. « Donc la chirurgie, ce n’est pas trop votre truc ? », a alors demandé Julia Vignali, intriguée par les propos de son invité du jour.

« Ce n’est pas que ce n’est pas mon truc… Je peux le comprendre, si ça peut rassurer certaines personnes… », a répondu l’animateur de « The Voice dans un premier temps avant de revenir sur ce fameux portrait capturé au cours d’un voyage. « Mais le fait que lui ne cache pas le temps c’est aussi une façon de se dire qu’il s’est peut-être trouvé lui-même et qu’il n’est pas devenu un autre et qu’il a trouvé ce qu’il est fondamentalement, a-t-il déclaré.   Regardez, on dirait que le temps a ciselé les épreuves et les marques sur son visage je trouve ça beau moi », a conclu Nikos Aliagas qui n’est donc pas près de céder aux bistouris.

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Une introspection

Interrogé sur son voyage au cours duquel ces clichés ont été pris, Nikos Aliagas a également déclaré : « On fait un métier ou on a l’impression que le temps s’arrête. On nous prête une notoriété, tout ça ce n’est pas à nous, et en même temps on le vit avec joie… Et j’apprends encore, tous les jours j’apprends un peu plus dans les yeux de mes enfants. À la fin, est-ce qu’on retrouve Ithaque je ne sais pas, ce qui compte ce n’est pas l’arrivée, c’est le voyage », une belle conclusion !

L.Z.