« Affreux », « Sale caractère », « Très misogyne », Laurence Boccolini dit tout ce qu’elle pense de Philippe Bouvard, son ex-mentor !

Si Laurence Boccolini officie à la télévision depuis de nombreuses années, elle n’était pas encore majeure lorsqu’elle a débuté à la radio. En effet, c’est à l’âge de 16 ans qu’elle a débarqué aux « Grosses Têtes »de RTL. Pas pour siéger sur l’un des fauteuils de l’émission animée par Philippe Bouvard, mais pour trier le courrier. Invitée ce vendredi 30 juin chez Jordan de Luxe, celle qui a décidé de quitter « Tout le monde veut prendre sa place » sur France 2 en a dit un peu plus sur son rôle à l’époque, ainsi que sur le comportement de Philippe Bouvard.

Le journaliste, rival de Laurent Ruquier, arrivait « dans une Rolls » à la radio. « J’étais dans le bureau de ses secrétaires, qui étaient adorables. On m’a mise derrière la porte », s’est-elle amusée en se remémorant cette époque avant de révéler : « Il n’était pas agréable. Il a un caractère. Un sale caractère ».

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Laurence Boccolini, une bonne expérience avec Philippe Bouvard malgré le côté misogyne ?

Malgré son « sale caractère », celle qui pourrait se faire remplacer par Bruno Guillon ou Sara De Paduwa à la tête de « Tout le monde veut prendre sa place »assure qu’il a été « très important pour elle » : « Moi, il a compté énormément pour moi. J’étais hôtesse aux Grosses Têtes, je servais à boire. Et en 2001, quand j’ai commencé le Maillot faible, je suis devenue sociétaire. Pour moi, c’était vachement important ».

Après le départ de Philippe Bouvard, remplacé par Laurent Ruquier, Laurence Boccolini n’a jamais été rappelée pour « Les Grosses Têtes ». « Il ne m’a jamais demandé », confie-t-elle au sujet du compagnon d’Hugo Manos, avant de préciser : « Je n’ai pas eu cette envie-là ». Peut-être parce que son expérience avec le journaliste de 93 ans n’a pas toujours été positive ? « Même si j’ai eu des années formidables avec Philippe Bouvard il était très dur avec les femmes. il était très misogyne. Il fallait être super blindée », reconnaît-elle. La désormais ex-animatrice de « Tout le monde veut prendre sa place » nuance malgré tout et assure qu’il lui a « beaucoup appris » lors de ses années en radio.

R.F