Soan : le gagnant de « La Nouvelle Star » 2009 frappé par la maladie !

Il a su captiver les téléspectateurs par sa personnalité atypique et sa voix inégalable. En 2009, Soan s’est fait connaître du grand public en participant à la septième saison de La Nouvelle Star. Une édition qu’il a remportée haut la main, lui permettant ainsi de vivre pleinement sa passion. Cependant, les années précédant sa participation au télé-crochet, ainsi que celles qui ont suivie, n’ont pas été de tout repos pour lui. C’est du moins ce qu’il a laissé entendre lors de son apparition sur TFX, ce vendredi 15 septembre 2023.

En effet, Soan a été invité à témoigner dans l’émission Après la gloire, la nouvelle vie des stars des émissions de télécrochet. Cette émission, comme son nom l’indique, a convié de nombreux artistes issus de la télévision à venir témoigner pour partager où ils en sont aujourd’hui. Cela a été l’occasion pour Soan de révéler qu’il souffre d’une maladie depuis plusieurs années. Le lauréat de La Nouvelle Star 2009 est en effet atteint de fibromyalgie.

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Soan, malade depuis de nombreuses années

Comme le rapportent nos confrères de Gala, il s’agit d’une maladie qui « provoque l’apparition de douleurs musculaires diffuses et chroniques ». À ces douleurs s’ajoutent de la fatigue et des troubles du sommeil, comme l’explique l’Inserm sur son site. Soan a révélé que cette maladie était déjà présente lors de sa participation à La Nouvelle Star, comme il l’a expliqué à nos confrères.

« En fait, je souffrais de fibromyalgie, mais je ne le savais pas encore. Du coup, j’avais constamment de la fatigue », a-t-il confié. Plus tard dans son témoignage, celui qui a révélé avoir « vécu de manière précaire » par le passé lors de son passage dans l’émission Salut Les Terriens animée par Thierry Ardisson, a indiqué que le changement de rythme avait eu un impact important sur son corps. En effet, avant de participer à l’émission de M6, Soan gagnait sa vie en jouant dans le métro. Il est ensuite passé des souterrains à la scène de l’émission, puis aux interviews. Un rythme effréné qui n’a pas contribué à atténuer sa maladie. « Ça ne s’arrête jamais », a-t-il constaté.

R.F