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Divertissement

Audrey Fleurot : le tournage de « HPI » stoppé net, une grève d’envergure démarre

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Les projecteurs ne s’allumeront pas ces mercredi 15 et jeudi 16 novembre 2023, suite à l’appel à la grève lancé par plusieurs organisations syndicales du monde du cinéma et de la télévision. Une initiative qui affecte 47 productions, entraînant l’annulation de nombreux tournages.

Parmi les séries touchées par cette interruption : HPI

, le programme phare de TF1 portée par
Audrey Fleurot

, mais aussi Astrid et Raphaëlle. La quotidienne Déter, diffusée sur france.tv, ainsi que le téléfilm La Superbe avec
Bernard Campan

et Franckie Wallach, sont également concernés par cette pause forcée. D’autres productions impactées incluent Le crime lui va si bien, Le remplaçant ou encore
Leo Mattéï

, rapportent nos confrères du Parisien.

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Une grève d’envergure

« Face au refus des quatre syndicats de producteurs de prendre en compte notre demande de réouverture des négociations salariales, en vue d’obtenir la revalorisation des grilles de salaires minima garantis à hauteur de 20 % » le SPIAC-CGT, le SNTPCT et la CFTC Media + appellent « tous les salariés de la production audiovisuelle à des actions de grève ».

« Pas encore aussi médiatisée que la crise des scénaristes et acteurs aux États-Unis, la colère qui s’exprime parmi les professionnels de la production audiovisuelle (tous les programmes hormis les sorties en salle) traduit des formes identiques de désarroi », indiquait le Syndicat des professionnels des industries de l’audiovisuel et du cinéma CGT dans un récent communiqué.

Les salaires pointés du doigt

La raison de cette action ? L’absence de réévaluation des salaires minima depuis plus de 15 ans. « Les salariés ont perdu 20 % de pouvoir d’achat dans ce secteur. Ils ont vu leurs conditions de travail se dégrader, les amplitudes de travail ont explosé́ avec l’arrivée des plates-formes numériques, et ils restent confrontés à une égale précarité́ de l’emploi », confiait le syndicat toujours selon les informations du quotidien.

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Le Syndicat français des réalisateurs et l’Union des réalisatrices et réalisateurs soutiennent quant à eux les techniciens. « Leurs revendications légitimes nous concernent toutes et tous. Il en va de la qualité des films que nous faisons ensemble », ont-ils lancé. Reste à savoir comment la suite des évènements va se dérouler.

V.B 

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