« C’est pas vrai, c’est triste », une ancienne chroniqueuse de Laurent Bignolas (Télématin) dénonce son gros mensonge

Isabelle Chalençon
et
Laurent Bignolas
ont longtemps fait équipe sur le plateau de
Télématin

sur le plateau de Chez Jordan ce mardi 27 février 2024, la sœur aînée de Pierre-Jean-Chalençon est en effet revenue sur l’ambiance qui régnait au sein de l’équipe. L’occasion pour l’ex-chroniqueuse mode de réagir aux propos de son ancien boss.

« J’étais tout de suite poussé comme étant le bouc émissaire du mécontentement […] J’ai pris des seaux de merde dans la gueule », avait-il lui-même confié sur C8 avant de parler des chroniqueurs qui « n’étaient pas contents de leur sort ». « J’étais le responsable, grosso modo c’était à cause de moi qu’il y avait ce changement dans leur vie ».

Et de poursuivre en voyant une photo d’Isabelle Chalençon s’afficher derrière lui : « Elle m’a posé des tas de questions sur le plan humain, personnel, salarial. Elle commençait à réclamer beaucoup de choses, des indemnités, … Je lui ai dit de se tourner vers quelqu’un d’autre et de faire son dossier comme-ci comme ça et après… » Des propos qui n’ont visiblement pas plu à l’intéressée qui assure que rien de tout cela n’est vrai.

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« J’étais en procès contre la chaîne »

« C’est triste… C’est vrai qu’on m’avait demandé de le relooker. Il n’aimait pas trop la mode ni le luxe, j’ai des chroniques qui ont sauté. C’était en fonction de l’animateur, mais pour moi c’était important puisque j’étais payé à la chronique. Ça me plaisait moyennement parce que mon travail est un travail de passion », a confié Isabelle Chalençon sur la huitième chaîne.

« Je lui ai juste parlé quand il est arrivé parce qu’il était délégué CGT alors je suis allée le voir pour le mettre au courant et lui dire que j’étais en procès contre la chaîne. Je lui ai juste dit : ‘Ce serait bien que vous nous défendiez pour qu’on obtienne un CDI et que je retrouve mon salaire. Je payais mon téléphone, j’avais un ordinateur, je travaillais de chez moi… », a-t-elle ajouté.

Isabelle Chalençon a également dénoncé les inégalités salariales au sein de la rédaction. Une rédaction qu’elle a finie par quitter après une longue et douloureuse dépression.

V.B