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Patrick Timsit accusé de « regard dangereux » : le comédien a frôlé la prison aux Etats-Unis !

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Alors qu’il était de passage à Los Angeles, en Californie, Patrick Timsit a connu une petite mésaventure en compagnie du réalisateur Francis Veber. C’est leur ami, l’écrivain Philippe Labro, qui raconte.

Un peu partout dans le monde, les femmes se soulèvent à juste titre contre les gestes déplacés, les agressions, les remarques fatigantes et autres abus de la part de la gent masculine. Aux Etats-Unis, un concept s’est développé sans pour l’instant atteindre nos frontières : celui du « rape look« , qui désigne les regards bien trop insistants voire dangereux. Et c’est justement ce dont Patrick Timsit a été accusé alors qu’il était installé à une table du Beverley Deli, à Los Angeles, avec quelques amis français dont le réalisateur Francis Veber.

Dans les colonnes du Journal Du Dimanche, l’auteur Philippe Labro raconte effectivement un coup de téléphone passé à Francis Veber – La Chèvre, Le dîner de cons, Le placard, L’emmerdeur… – durant lequel le réalisateur s’est remémoré du passé : cet instant où il a cru finir derrière les barreaux, en Amérique, avec le papa de Lazard. « Il y avait une jolie fille à l’autre bout de la salle. On l’a regardée. Elle est venue vers nous. ‘Stop looking at me’, nous a-t-elle ordonné, se souvient-il. Je réponds que j’ai un rayon de soleil dans les yeux et que je ne l’ai pas regardée. Elle va se plaindre au patron de l’établissement. Il vient nous engueuler. Le ton monte. Il nous demande de partir. On sort. Et là, surprise : y a des flics partout. »

Cinq voitures, quinze officiers de police et un hélicoptère

Accueillis à la sortie de l’établissement gastronomique par cinq voitures, quinze officiers de police et un hélicoptère, les deux cinéphiles ont senti qu’ils étaient sur le point d’avoir de graves problèmes avec la justice étasunienne. Tout est bien qui finit bien pour Patrick Timsit et Francis Veber, qui ont pu retrouver nos frontières sans passer par la case prison. « On prend nos identités, poursuit-il. Dans mon mauvais anglais, je dis alors à une fliquette qui semblait un peu moins hostile : ‘J’ai peut-être regardé cette jeune femme, mais 15 cops, 5 voitures, 1 hélico, don’t you think it’s a little too much ?’. Elle a souri. Elle nous a libérés. On a pu prendre l’avion et rentrer en France. » La prochaine fois, il sera sans doute de bon ton de se concentrer sur la nourriture…

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