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Julien Castaldi bientôt papa à 25 ans : « C’est arrivé plus vite que prévu » (EXCLU)

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D’ici quelques semaines, Julien Castaldi endossera le plus beau des rôles : celui de papa. Avec sa fiancée Kiara, il attend son premier enfant à seulement 25 ans. À l’approche de l’accouchement, le fils aîné de Benjamin Castaldi a accordé une interview à « Purepeople.com » pour se confier sur cet heureux événement.

La nouvelle avait été annoncée fièrement par Benjamin Castaldi ! Dans Touche pas à mon poste, en janvier dernier, le chroniqueur révélait qu’il allait devenir prochainement papi. C’est son fils aîné Julien (25 ans et né de son ancienne union avec Valérie Sapienza) qui attend son premier enfant avec sa fiancée Kiara, un petit garçon. L’heureux événement est attendu pour le mois de juillet et l’impatience du jeune homme grandit de jour en jour. Purepeople.com s’est entretenu avec Julien Castaldi à l’approche de la naissance. Son rôle de père, le prénom du bébé, les valeurs qu’il souhaite transmettre… il nous dit tout !

Vous allez prochainement être papa, félicitations ! Comment vous sentez-vous ?

Je suis hyper excité, j’ai hâte que mon fils naisse. C’est un événement qui est arrivé un peu plus vite que prévu mais c’est une super bonne nouvelle, j’en suis ravi. Ça va super bien se passer, je pense que je suis prêt. Enfin, on dit ça mais je pense que c’est différent de le dire et de le vivre (rires).

Est-ce un bébé attendu ou plutôt surprise ?

J’ai 25 ans, mon père et ma mère m’ont eu à cet âge, je vais donc avoir exactement le même écart entre mon père et mon fils. Je voulais être papa jeune, ça allait parfaitement avec ce que je voulais comme vie. Ca a néanmoins été un bébé surprise dans le sens où on voulait se marier d’abord et faire le bébé l’année prochaine, c’est donc arrivé un peu plus tôt.

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Vous avez déjà révélé qu’il s’agirait d’un petit garçon et que vous envisagez avec votre fiancée Kiara, de l’appeler Angelo. Est-ce toujours le cas ?

C’est une très bonne question ! C’est une discussion quotidienne avec ma fiancée. Rien n’est encore certain. Ça ne vient pas de moi, j’aime toujours autant Angelo mais ma compagne réfléchit à d’autres possibilités.

Pourquoi ce prénom ?

Il est très symbolique. Tous les Castaldi, y compris mon père, ont Ange en deuxième prénom. Je trouvais ça bien mais après réflexion, on s’est dit qu’il y avait peut-être un autre prénom qui lui collerait mieux. Ce sera la surprise.

Votre père Benjamin, a eu son dernier enfant Gabriel il y a moins de deux ans. Ce dernier va donc être le tonton de votre fils. Quel regard portez-vous sur cette situation ?

Étant donné que ma tante, donc la fille de mon grand-père, a six mois de plus que moi, c’est une situation somme toute normale dans ma famille. Ce n’est pas délirant pour moi, et je trouve ça cool qu’ils aient si peu de différence, j’espère qu’ils seront proches. C’est sympa d’avoir une grande famille comme ça, et le mien c’est l’héritier du trône, les places sont attitrées déjà (rires).

Comme votre père, espérez-vous avoir plusieurs enfants ?

Oui c’est sûr mais rapprochés je ne sais pas. Je ne veux pas qu’il y ait trop de différence d’âge mais je vais d’abord voir comment je gère avec un enfant.

Quel genre de père aimerez-vous être ?

J’espère être présent du début à la fin, lui apporter un cadre de vie stable, profiter de tous les moments possibles avec lui. J’aimerais lui transmettre la fidélité, c’est important, et puis lui apprendre à être un Castaldi. Ce n’est pas une tare, il y a des moments un peu plus complexes mais il faudra que je lui apprenne le code des Castaldi.

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Quel est le code des Castaldi ?

C’est : méfiance, sincérité et persévérance.

Contrairement à votre frère Simon, vous avez décidé d’évoluer dans l’ombre. Pourquoi ?

Pendant un an, j’ai été chroniqueur et animateur sur NRJ12. C’était une expérience hyper riche, je ne regrette pas du tout mais ça m’a permis aussi d’ouvrir les yeux sur mes réelles envies. Quand j’ai eu la proposition d’NRJ12 de les rejoindre, je commençais à prendre confiance en moi car avant je n’étais pas bien dans ma peau et j’étais moins proche de mon père. À cette période, on avait resserré nos liens et c’était une manière pour moi de lui prouver que je pouvais faire ce qu’il faisait. Mais l’environnement global de la télé, devoir faire du copinage avec les chaînes, la direction, c’est un un peu particulier, je n’étais pas trop fan. Et puis, quand ça s’est terminé, on m’a dit : « merci, au revoir. » Ça m’a vachement refroidi et ça m’a fait me rendre compte que je n’étais pas fait pour ça. Avec l’influence marketing, j’ai trouvé une certaine légitimité. Être dans l’ombre est une position qui me plaît et je ne regrette pas du tout ce choix.

Que pensez-vous justement des apparitions télé de Simon ?

Ça aurait dû être un candidat premium et il ne l’est pas parce que les autres détestent son statut de « fils de ». Ce sont des mecs qui, la plupart du temps, ont galéré dans leur vie et ont beaucoup plus trimé que mon petit frère pour en arriver là. Il y a donc une sorte de concurrence. Ceux qui le connaissent savent que ce n’est pas un « fils de » péteux. Il a un tempérament nerveux mais c’est la jeunesse, quand il sera plus posé, ce sera plus simple pour lui de trouver sa place. Et puis il y a la production qui lui demande d’accentuer ces traits-là parce que c’est ce qui fait parler. J’espère en tout cas qu’il est parti pour faire d’autres tournages.

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Comment avez-vous grandi avec la notoriété de votre famille ?

Grandir en étant un « fils de » a ses bons et ses mauvais côtés. Il faut savoir gérer. Les bons côtés, c’est la partie professionnelle, c’est toujours bien d’avoir un nom mais dans le relationnel c’est compliqué parce que lorsque l’on est jeune, on ne sait jamais vraiment qui est notre ami et qui est là pour profiter de nous.

Contenu exclusif ne pouvant être repris sans la mention de Purepeople.com.

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