Zahia bientôt bannie ? On tente de lui nuire et elle balance tous les détails sur Instagram !

Il y a tout pile une semaine, Zahia partageait une vidéo d’elle sur laquelle elle perdait (volontairement) son maillot de bain à la plage et se tenait la poitrine dans les mains. Un moment assez spécial qui n’a pas plu à certains qui se sont empressés de signaler sa publication. Résultat, sa vidéo a été supprimée d’Instagram. Révoltée le 29 août dernier, Zahia a décidé de passer un coup de gueule dans ses stories, contre ses détracteurs et son réseau social fétiche. Dans une première story, elle partage une capture d’écran d’une notification d’Instagram lui indiquant que sa vidéo « va à l’encontre des directives sur la sollicitation sexuelle des adultes ». Story suivante, nouvelle notification d’Instagram qui lui indique finalement que sa vidéo est republiée.

« Pour ces personnes jalouses qui passent leur temps à signaler mes publications, je suis toujours là et serai plus sexy que jamais », a-t-elle prévenu dans une troisième story. Ses détracteurs tentent de l’intimider, Zahia s’en moque. Elle publie en suivant les dernières règles d’Instagram annoncées le 28 octobre dernier au sujet de la nudité sur le réseau social. « Il autorisera désormais ‘les images de personnes cachant leur poitrine, la couvrant ou en croisant les bras’ », peut-on lire sur sa capture d’écran. Néanmoins, incompréhension totale pour Zahia dont sa mythique vidéo a été supprimée une énième fois… « Alors pourquoi ce post a encore été supprimé », s’interroge-t-elle en partageant en story un aperçu de ce dernier. « Instagram autorisera désormais ‘les images de personnes cachant leur poitrine en la tenant, la couvrant », a-t-elle poursuivi.

Peu importe, Zahia ne compte pas s’arrêter là. Si elle utilise régulièrement Instagram pour partager des photos ou vidéos d’elle assez osées, comme cette fois où elle célébrait la réélection de Macron avec un cadeau très particulier, il lui arrive aussi de s’exprimer avec le cœur. Comme lorsqu’elle révélait à ses abonnés avoir été victime de violences conjugales. 

Antoine F-M

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