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Élisabeth Moreno : Le gendre de l’ex ministre condamné pour trafic de drogue

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Anaïs S., la fille d’Elisabeth Moreno, a frôlé le pire dans l’affaire de détention et cession de cocaïne et de cannabis qui planait au-dessus de son foyer. Son époux, en revanche, s’en est un peu moins bien sorti.

L’affaire suit son cours. En juin 2022, Anaïs S., la fille d’Elisabeth Moreno, et son époux William E. avaient obtenu un délai pour préparer leur défense. Lui avait été accusé de détention et cession de cocaïne et de cannabis, entre avril 2021 et mai 2022. Elle était jugée pour non-justification de ressources en lien avec ce trafic de drogue. Le 20 octobre 2022, le verdict tombe : selon les informations du journal Le Parisien, la mère de famille de 31 ans a été relaxée par le tribunal correctionnel d’Evril-Courcouronnes, dans l’Essonne. Son partenaire, en revanche, a été condamné à une peine de prison d’un an aménageable, pour l’acquisition et le transport de produits stupéfiants en Martinique.

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Elisabeth Moreno a été ministre déléguée chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes, de la diversité et de l’égalité des chances. Sa fille Anaïs, qui réside à Morsang-sur-Orge, dispose d’un casier judiciaire vierge. Ce qui a penché dans la balance dans la décision du tribunal correctionnel. William E., son compagnon, avait en revanche déjà été condamné en 2018 à trois ans de prison pour participation à une association de malfaiteurs et blanchiment, en lien avec un trafic de stupéfiants. « Mon client a été relaxé pour une partie des faits qui lui étaient reprochés », indique son avocat, maître Robin Binsard.

Je ne savais pas ce qu’il y avait dedans, mais ce n’était pas des bonbons

Les douanes martiniquaises avaient intercepté un colis suspect à destination de Grigny, dans l’Essonne, le 12 avril 2021. Le paquet était adressé à une certaine Christelle Laurent de la part d’une certaine Cindy Laurin. A l’intérieur se cachait un appareil à raclette, mais aussi de la cocaïne. William E. dont les traces papillaires ont été identifiées, avait assuré qu’il avait simplement touché 3000€ pour s’occuper de l’envoi. « Je ne savais pas ce qu’il y avait dedans, mais ce n’était pas des bonbons« , avait-il expliqué. Un an plus tard, dix olives de cannabis avaient été retrouvées dans la cuisine de son logement, ainsi que 150 grammes de cocaïne dans une valise camouflée dans le dressing et dans la cuvette des toilettes. « C’est un soulagement, face à la peine assez lourde de deux ans qui avait été requise, poursuit son avocat. Il a aujourd’hui la certitude de pouvoir rester en liberté, et ainsi poursuivre ses projets personnels et professionnels…« 

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