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« Vous n’avez pas honte », « vous êtes mère de famille », Léa Salamé démonte cette invitée politique ce matin à la radio !

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Ce 26 octobre, il y a eu de l’électricité sur les ondes de France Inter. Léa Salamé recevait Marion Maréchal Le Pen, vice-présidente exécutive de Reconquête, qui a rejoint le camp d’Eric Zemmour à la dernière présidentielle. Et tandis que le parti a récemment été accusé de récupérer l’affaire Lola à des fins politiques, pour faire son grand retour sur la scène médiatique, après sa déroute (aussi) aux législatives, Léa Salamé a repris une phrase mythique que l’on doit à Jean-Pierre Elkabbach. 

« Celui qui devrait avoir honte aujourd’hui c’est Gérald Darmanin »

Elle a déclaré à Marion Maréchal Le Pen : « Vous n’avez pas honte ? » Et cette dernière de lui répondre immédiatement : « Ne vous-êtes vous pas trompé de personne ? Celui qui devrait avoir honte aujourd’hui c’est Gérald Darmanin ». Et la journaliste d’insister : « exploiter à des fins politiques le meurtre de cette fillette avant qu’elle ne soit enterrée, vous êtes mère de famille… »

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Pour rappel, en janvier 2015, au lendemain d’une manifestation organisée après les attentats de Charlie Hebdo et de l’Hypercasher, à laquelle le Front National de Marine Le Pen n’avait pas assisté, Jean-Pierre Elkabbach avait débuté son interview avec la frontiste avec la même phrase. A la tante de Marion Maréchal Le Pen, il avait déclaré : « Bonjour Marine Le Pen, vous n’avez pas honte ? » Et la responsable politique de lui répondre, agacée, « Pardon ? Honte de quoi ? Non mais de quoi me parlez vous ? Je vous reconnais bien là dans la provocation« .

« Bonjour Marine Le Pen, vous n’avez pas honte ? »

Le journaliste avait alors déploré que le parti d’extrême droite ne se joigne pas à l’union nationale pour lutter contre le terrorisme, aux côtés des démocrates. En face, la frontiste avait répondu que « le gouvernement et un certain nombre de partis politiques » qui « quelques heures après l’attentat », étaient tombés dans « la basse politique politicienne », avaient « décidé d’organiser une marche sous le slogan de l’union nationale en rejetant la présence du Front National« . Elle, était prête à participe, avait-elle aussi dit.

F.A

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