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Nabilla et Jessica Thivenin payées un fortune pour faire la pub d’une marque : le créateur finit ruiné…

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Certaines stars de télé-réalité sont devenues de véritables business women, une fois le poste de télévision éteint. Nabilla Benattia et Jessica Thivenin, par exemple, coûtent un sacré pactole dès qu’il s’agit de signer un partenariat promotionnel…

Le métier d’influenceur fait couler beaucoup d’encre mais est-il réellement rentable pour tout le monde ? Pas pour le créateur de la marque Bad Mood Paris, en tout cas, qui a révélé les coulisses de ses transactions monétaires dans une vidéo TikTok devenue virale. Le jeune homme, qui s’est lancé dans le prêt-à-porter en janvier 2020, a fait appel à plusieurs créateurs de contenus en ligne et a dépensé près de 400 000 euros… pour un retour d’investissement bien médiocre. Sa vidéo, d’ailleurs, s’intitule « Tuto pour ne pas perdre 400 000 balles« .

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Il avait pourtant fait appel à des personnalités suivies par énormément de gens en ligne. Dans la liste des influenceurs qui ont tenté de donner un coup de pouce – rémunéré – à la marque Bad Mood Paris, on retrouve Nabilla Benattia, qui a touché 22 000 euros, son époux Thomas Vergara, payé 2500 euros, Jessica Thivenin, qui a dit « oui » pour 17 000, son mari Thibault Garcia, 8500 euros, ainsi que Michou ou encore le rappeur Koba LaD. Bien sûr, les 400 000 euros ne correspondent pas qu’aux coûts de ces campagnes publicitaires. La fabrication de ses produits, la location d’un local de stockage, la création de packaging ont également propulsé l’entrepreneur dans le rouge.

Car l’heure du bilan financier a fini par sonner. En versant 22 000 à Nabilla, le créateur de la marque Bad Mood Paris a remporté 2349 euros, soit dix fois moins que la somme investie. Même son de cloche pour les autres influenceurs qui ont distribué des codes promos dans des publications et des stories sur Instagram. Aujourd’hui, l’entrepreneur est obligé de vendre ses stocks restants en les bradant à -80%, en les donnant à des associations, à moins qu’il ne soit forcé de les jeter. Sa vidéo lui a offert un sacré coup de buzz et pourrait lui rapporter plus de commandes que prévu. Mais certaines clauses de confidentialité, qui devrait a priori se trouver sur les contrats signés avec ses prestataires, pourraient également lui coûter très cher…

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