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Contrôlé positif au cannabis, Hugo Nogam accuse un policier d’avoir imité sa signature

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Hugo Nogam, producteur et chanteur connu pour avoir travaillé avec Dadju et Ninho est aujourd’hui sans permis de conduire. Il reproche à un policier d’avoir falsifié un constat d’arrestation. Pour Le Parisien il est revenu sur cette histoire sordide qui l’empêche aujourd’hui de travailler.

Le producteur et chanteur Hugo Nogam, connu pour ses collaborations avec Dadju et Ninho notamment, a été arrêté par la police le 26 décembre dernier et privé de son permis de conduire. La faute à un contrôle positif au cannabis alors qu’il roulait sur l’autoroute A10 à hauteur de Monnaie (Indre-et-Loire). Chose que le producteur a réfuté « impossible, puisque je ne fume pas. » Depuis, le chanteur a porté plainte pour contester cette sanction et s’est soumis à un test salivaire pour confirmer sa bonne foi et la validité de ses propos. Par ailleurs, il reproche à un policier d’avoir imité sa signature. Il est revenu sur ses imbroglios judiciaires pour Le Parisien.

« Je leur ai dit que j’en avais besoin [de son permis de conduire], que je travaillais souvent de nuit en studio et que je traversais l’Île-de-France pour mon travail, que je voulais une contre-expertise. Mais ils m’ont répondu qu’un deuxième test salivaire allait être envoyé au laboratoire et que lorsque je recevrai une lettre m’indiquant le résultat dans 5 jours, j’aurai à ce moment-là seulement le droit de contester en demandant une prise de sang. Je me suis rendu compte après coup que c’était complètement faux. Je n’ai d’ailleurs jamais reçu de lettre 5 jours plus tard. Mais, sur le coup, comme je n’y connais rien, je ne me suis pas douté de quoi que ce soit. » a-t-il expliqué à nos confrères.

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Hugo Nogam a alors dû attendre sur une aire d’autoroute que des proches viennent le chercher pour continuer sa route. Il a déclaré s’être rendu le lendemain à la gendarmerie pour contester le constat réalisé par les policiers la veille. C’est là-bas qu’il se rend compte qu’il a été trompé. « Le gendarme qui me répond m’assure qu’il faut faire cette contre-expertise le jour même avec les personnes qui m’ont contrôlé. Je suis surpris, je lui dis que je ne comprends pas car ses collègues m’ont affirmé le contraire » a-t-il expliqué au Parisien avant de déclarer que le gendarme lui a affirmé, « de toute façon, vous ne pourrez rien faire car vous avez signé un papier précisant que vous renoncez à la prise de sang. »

Alors que ce dernier réfute avoir signé ce fameux document et qu’il a constaté que la signature était une imitation de la sienne, il espère aujourd’hui être dédommagé : « Ce que je veux avant tout, c’est récupérer mon permis rapidement et ne pas attendre six mois. Mais j’aimerais aussi que l’enquête ou l’étude graphologique permettent de prouver qu’il y a eu un faux. Pour que cela mette fin au comportement de ce gendarme. Qu’il ne fasse plus d’autres victimes.« 

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