Magali Berdah aux côtés d’Emmanuel Macron : prochaine ministre des réseaux sociaux ?

Magali Berdah part à la conquête d’un ministère

En février dernier, Magali Berdah a débarqué là où ne l’attendait pas vraiment : l’interview politique. Son but était très clair : partir à la rencontre de tous les candidats à la présidentielle afin de mieux en comprendre l’enjeu. « Comme je ne comprends rien à la politique, je veux vulgariser la politique et je veux vraiment qu’elle soit accessible à tous, notamment aux gens comme moi, pour ensuite prendre la bonne décision et choisir pour qui je vais voter », avance-t-elle. « L’objectif de ces vidéos, c’est d’emmener avec moi les gens dans une démarche citoyenne. Vous verrez peut-être les hommes politiques d’une manière différente. », avait-elle déclaré au micro d’Europe 1.

Pourtant, dans un premier temps, ses vidéos n’ont pas reçu l’effet escompté ! Au vu des nombreuses critiques, Magali avait rétorqué : « En tout cas, ça prouve une chose, c’est que c’était nécessaire, je pense, sans aucune prétention. Je pense qu’il est temps de se rendre compte qu’il y a plus de gens qui ne comprennent rien à la politique que de gens qui comprennent vraiment. Et je suis heureuse, j’ai l’impression d’avoir fait quelque chose de bien ». Il semblerait que cette aventure ait déjà pris fin…

Magali Berdah sera-t-elle ministre des réseaux sociaux ?

Après avoir suivi Valérie Pécresse, Marine Le Pen ou encore Jean-Luc Mélenchon, la papesse de la télé-réalité a interviewé Emmanuel Macron. Pour sa dernière vidéo, le Président de la République a pu exposer son programme dans les grands lignes et démontré les différences avec sa rivale. En fin d’interview, Magali Berdah lui a posé la question qu’elle a posée à tous les candidats : « Est-ce que, si vous êtes élus, on pourra s’asseoir autour d’une table pour la création d’un ministère des réseaux sociaux ?« .

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Emmanuel Macron (qui a évoqué ses regrets durant son quinquennat) lui a alors répondu qu’il y avait déjà un secrétaire d’Etat chargé du numérique, Cédric O, et que ce dernier travaillait sur ce dossier. Celle qui a dénoncé l’acharnement des candidats a tenté : « Je pourrais peut-être être votre ministre des réseaux sociaux ?« . Toutefois, le président s’est montré superstitieux. En touchant du bois, il a répondu : « Pas avant l’élection ». Mais cela ne répond pas à la question…

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