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Le couple qui habille les candidates de « Mariés au premier regard » révèle les coulisses d’un business colossal : 2.000 à 3.000 modèles s’écoulent chaque année et des clientes qui viennent d’autres continents !

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Si dans « Mariés au premier regard », les « stars » de l’émission sont les mariés, les personnages de l’ombre œuvrent aussi beaucoup pour la réussite du programme. Les personnes de l’ombre ? Toutes celles qui mettent tout en œuvre pour que les futurs mariés se disent « oui » devant l’autel. À commencer par les vendeurs des costumes des hommes, et des robes de mariés pour les femmes. Dans ce dernier domaine, ce sont Paul et Nathalie Cherqui qui assurent.

Le couple, détenteur de trois boutiques de robes de mariées en région parisienne, a vu sa vie littéralement changer depuis leur participation à l’émission d’M6. Ils sont en charge, depuis 2017, de trouver la tenue parfaite pour les futures mariées. Interrogés par nos confrères du Parisien ce lundi 24 avril, ils ont évoqué l’impact qu’a eu, et a encore aujourd’hui, « Mariés au premier regard » sur leur quotidien.

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Merci « Mariés au premier regard »

« On dit souvent qu’une robe de mariée est le vêtement d’une vie. Dans l’émission, c’est encore plus vrai puisque c’est ce que verra en premier le futur mari d’une personne qu’il ne connaît pas », rappelle d’abord Nathalie avant que son compagnon évoque les délais de fabrication. Ces derniers étant bien plus courts qu’à l’accoutumée : Deux mois contre cinq en temps normal. « C’est la grande complexité pour nous. C’est le rush total mais on y arrive », se félicite Paul.

Mais ce rush en vaut la chandelle. En effet, le programme leur a apporté « de la crédibilité et une forte publicité ». « Les lendemains de diffusion, le téléphone sonne plus que d’habitude », souligne même Nathalie qui ajoute : « Certaines clientes viennent parfois de l’autre bout de la France, voire d’Afrique pour s’offrir une robe vue à l’écran ».

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Ce fort intérêt se voit d’ailleurs sur les chiffres. Les ventes supplémentaires pouvant par exemple atteindre 50 unités par modèle pour des prix qui oscillent entre 1000 et 8000 euros. À l’année, ce sont entre « 2000 et 3000 » modèles qui sont écoulés comme le soulignent nos confrères. Cette réussite va bientôt permettre au couple Cherqui d’ouvrir bientôt une quatrième destinée aux « grandes tailles ».

R.F

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