« Le top en matière de crémation », un chroniqueur de « Telematin » raconte comment « mourir écolo », Thomas Sotto le prie de bien vouloir « prendre des vacances » !

Il n’est pas toujours aisé d’en parler mais pourtant, il faut le prévoir. La mort arrive un jour ou l’autre et personne ne peut y échapper. Inhumation ou crémation, le choix varie selon les personnes. Et si certains pensent peut-être que cela ne changera rien car dans tous les cas ils seront « morts et ne pourront pas vraiment donner leur avis », le choix peut pourtant avoir une grande conséquence sur la planète. C’est en tout cas ce qu’a rappelé Axel de Tarlé ce jeudi 27 avril sur « Télématin ».

Le chroniqueur de Thomas Sotto a en effet consacré une chronique aux cercueils ou plutôt, sur la façon d’être écolo, même une fois mort… « Comment mourir écolo ? Est-ce qu’il faut être enterré ou la crémation et meilleure ? Figurez-vous, la ville de Paris a comparé l’empreinte carbone entre la crémation et l’inhumation », lance-t-il à l’animateur qui se faisait « gifler » la veille par Julia Vignali, un brin atterré parce qu’il est en train de découvrir.

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Le cercueil, ça pollue !

« Quand on est enterré, il y a le cercueil, il faut le transporter, il y a l’entretien du cimetière… ce qui fait que l’’enterrement pollue 3,6 fois plus que la crémation », annonce Axel de Tarlé en reprenant les révélations des Échos. Le chroniqueur poursuit alors : « Et alors le top en matière de crémation c’est d’avoir une urne 100 % bio ». 

« Vous avez des urnes en sel, en sable, ou en terre, mais dans les deux cas… », ajoute-t-il avant de se faire couper par Thomas Sotto : « Vous avez prévu de prendre quelques jours de vacances ou pas ? » lui lance-t-il avec beaucoup d’ironie. Malgré les rires du plateau, le chroniqueur est parvenu à garder son sérieux et continuer d’informer sur le sujet.

« Dans les deux cas, il faut un cercueil. Du coup, j’ai parlé de 660 000 morts par an, ça fait plus de 600 000 cercueils par an… Eh bien vous savez combien on coupe d’arbres ? Pour avoir tous ces cercueils ? », a-t-il alors demandé avant de révéler le chiffre gigantesque : « 11 millions ! »

Ça, « ce n’est pas trop écolo » note-t-il, toujours avec humour. Axel de Tarlé a ensuite précisé que les cercueils devenaient de plus en plus « écolos » pour aider la planète. « Du coup, on pousse des cercueils plus light et notamment pour la crémation, il n’y a pas besoin d’un chêne ultra-résistant au contraire. Ils sont de faible épaisseur et il y a même le carton qui se développe », a conclu le chroniqueur. Un sujet un brin morbide, mais qui n’a pas manqué de faire rire de bon matin.

R.F