« On s’est pris une claque… » : Alexia Laroche-Joubert annonce une très mauvaise nouvelle au sujet de « Fort Boyard », l’inflation principale responsable !

Oui, « Fort Boyard » va bel et bien être diffusé sur France 2 cet été. Mais de nombreux changements ont été opérés. Et nous ne parlons pas ici des nouveaux personnages ou des nouvelles équipes qui vont débarquer sur le Fort. Non, nous faisons bel et bien référence aux côtés négatifs des changements, entraînés par l’inflation. En effet, nos confrères de TV Mag nous apprennent que le jeu animé par Olivier Minne, qui revient pour sa 34e saison le samedi 1er juillet 2023 a dû revoir ses ambitions… à la baisse.

La première équipe formée par Nathalie Péchalat, Frédérick Bousquet, Anne Sila, Paul de Saint-Sernin, Yoann Huget et Robert Pirès, va avoir droit à son lot d’épreuves. Toutefois, Alexia Laroche-Joubert aurait souhaité apporter quelques nouveautés mais a dû faire face à l’inflation. « On s’est pris en pleine gueule l’inflation ! », lâche à TV Mag la productrice d’Aventure Line Productions avant de poursuivre : « Le programme coûte, évidemment, de l’argent qui s’amortit sur un certain nombre d’émissions. Mais le problème est qu’il y a énormément de corps de métiers différents qui utilisent beaucoup de matériaux ».

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« Fort Boyard » victime de l’inflation

Selon nos confrères, la hausse peut se chiffrer à entre 10 et 25 % et cela varie selon les postes et les dépenses. Entre les dépenses pour affréter les équipes, le personnel qui travaille sur le Fort coûte lui aussi de l’argent : « 120 personnes travaillent sur le fort, qu’il faut nourrir, et le prix des repas a augmenté d’environ 15 % ». « Il faut également loger les personnalités dans des hôtels dont les prix ont augmenté… À la fin du tournage, ça fait d’énormes montants ! », note également Antoine Weber, producteur exécutif de l’émission.

Alexia Laroche-Joubert a pourtant demandé de « l’aide » auprès de France Télévisions… sans succès. « France Télévisions n’a pas contrebalancé ces hausses ! Probablement qu’ils ne peuvent pas le faire pour toutes les productions, mais c’est vrai que quand vous faites un programme « outdoor » qui nécessite des moyens techniques et des matériaux très particuliers, on s’est pris une claque ! », a-t-elle déploré, consciente, malgré tout, que le groupe aurait aidé s’il en avait eu la possibilité et surtout les moyens.

Les conséquences ? Le Fort est resté ouvert moins longtemps afin de limiter les coûts. De plus, cette saison va compter deux épreuves de moins comparé aux années précédentes pour Olivier Minne et ses équipes.

R.F