Leïla Bekhti émue aux larmes et admirative de son mari Tahar Rahim, « exigeant et très sévère »

Leïla Bekhti et Tahar Rahim forment un couple d’acteurs glamour depuis près de 10 ans. Les parents de Souleymane (3 ans), une petite fille qui a accueilli un autre bébé à la veillée, se sont rencontrés sur le tournage deUn prophète en 2009. Depuis, les deux comédiens ont fait du chemin… Invités sur le plateau de C pour toiMercredi 22 septembre, Leïla Bekhti a évoqué la carrière prolifique de celui dont elle partage la vie. « C’est le plus sévère. Parfois c’est très dur, pour lui comme pour moi. Mais quand il me dit que c’est génial… », il a témoigné devant Anne-Elisabeth Lemoine et Pierre Lescure.

Sur l’affiche du film L’agité de Joachim Lafosse, qui sortira en salles le 20 octobre, Leïla Bekhti a exprimé toute l’admiration qu’elle éprouve pour son mari, qui faisait partie du jury du 74e Festival de Cannes. « C’est un acteur dont j’admire les choix et l’exigence. Du coup, quand j’ai un avis positif… C’est mon Télérama. J’attends qu’il me donne le feu vert »confia-t-elle. Pierre Lescure a également partagé une petite anecdote sur le jeune couple. Pendant le Festival de Cannes, Tahar Rahim n’a cessé de féliciter le travail de sa femme. « Nous avons tous les deux pris un verre à Cannes. J’ai été touché quand je l’ai entendu parler de son travail aux Intranquilles et à quel point cela l’a impressionné. » Des propos qui ont ému l’actrice, qui en avait les larmes aux yeux.

Fan de vidéo d’archives, Anne-Elisabeth Lemoine et son équipe ont vu un moment d’anthologie dans la vie de l’actrice : le moment où elle a reçu le César du meilleur espoir féminin en 2011 pour sa performance dans Tout ce qui brille. Face à ces images, Leïla Bekhti a raconté une histoire surprenante.

Avant d’aller dîner au Fouquet’s avec tous les césarisés, elle a demandé au chauffeur de la déposer dans le 17e arrondissement de Paris, pour y retrouver des amis. « Ils sortaient en pyjama, je les connais depuis que j’ai 9 ans. Il voulait partager le caviar avec ceux avec qui il mangeait des pommes de terre. Si tout ce que j’y habite, je ne le partagerai pas. pas avec les gens que j’aime, ça ne m’intéresse pas »conclut-il gentiment.