Victoria Beckham, diva ingérable ? Un chef balance sur les exigences « jamais vues » de la star

Ne pas se sentir dans son assiette, c’est un peu le comble pour un chef. Mais c’est bien ce qu’a ressenti Dani Garcia, cuisinier espagnol de 46 ans, lors de la soirée organisée pour le mariage de Sergio Ramos et Pilar Rubio. En 2019, le couple fait appel à lui pour régaler les nombreux invités qu’ils souhaitent voir participer à l’un des plus beaux jours de leur vie. Parmi eux, David et Victoria Beckham.

Tout s’est parfaitement déroulé pour Dani Garcia, heureux de pouvoir satisfaire les papilles de tous les convives ou presque. Interviewé dans l’émission El Hormiguero, le chef trois étoiles a fait part de la mauvaise expérience qu’il a vécue avec Victoria Beckham. Lui, qui s’était donné du mal pour élaborer un menu parfait pour l’occasion, a dû tout modifier pour elle : « C’était très triste parce qu’on a fait tellement d’efforts, pas seulement moi et mon équipe, mais aussi les futurs mariés et tout le monde pour créer un menu unique, a-t-il indiqué. Son assiette était totalement différente et basée uniquement sur les légumes. »

Au-delà de vouloir du vert dans son assiette, Victoria Beckham a eu des exigences et des demandes bien précises du côté des cuisines : « Il y a eu des choses bizarres que je n’ai jamais vues de ma vie. Elle avait de l’eau de coco, tout le temps, un bol de menthe et puis de l’autre côté, du gel hydroalcoolique. » Victoria Beckham avait-elle senti avant tout le monde une épidémie arriver ? Si ce mystère reste entier, elle n’a jamais caché un petit côté exigeant : « Pour la plupart des restaurants, je suis probablement leur pire cauchemar » avait-elle sérieusement confié.

Les propos de Dani Garcia sont néanmoins exagérés d’après un proche de Victoria Beckham. Si cette dernière avoue que l’ancienne chanteuse aime contrôler ce qu’elle a dans l’assiette, ses demandes n’ont rien de gargantuesque comme le chef le laisse entendre : « Ce n’est ni juste ni exact. Le plus que Victoria aurait fait lorsqu’on l’interrogeait sur ses besoins alimentaires était de demander du poisson et des légumes à la vapeur. » Une chose est sûre, faire des bons petits plats à Victoria, c’est loin d’être du gâteau.