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« Ils outrepassent leur droit ! » : Mathieu (L’amour est dans le pré) en colère face à une grosse injustice

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Les choses ne se passent décidément pas comme prévu pour Mathieu dans son parcours GPA. Sur Instagram ce mardi 27 août 2022, il a confié être face à un nouveau gros coup dur qui pourrait lui faire ralentir l’avancée de ses démarches.

Ces derniers mois, Mathieu s’est lancé dans l’aventure de sa vie. L’agriculteur de L’amour est dans le pré (2020) souhaite devenir père et c’est vers la GPA (Gestation pour autrui) qu’il s’est tourné pour ce faire. Ce projet, l’éleveur de taureaux devait au départ le mener avec son mari Alexandre. Mais, au début du mois de septembre, à la surprise de tous, ils ont annoncé leur rupture. C’est donc désormais en tant que père célibataire que Mathieu compte accueillir son premier enfant.

Malheureusement, son chemin est semé d’embûches. En story Instagram ce mardi 27 septembre 2022, il a justement pris la parole pour pousser un coup de gueule contre sa banque. Et pour cause, celle-ci aurait « bloqué » son dossier et l’empêcherait donc de recevoir un virement de son propre argent destiné à payer les coûts de la GPA. « Je pense qu’ils outrepassent leur droit. Notre argent nous appartient, on en dispose comme on veut« , a-t-il tenu à rappeler. Et pour lui de prévenir les potentiels clients de sa banque : « Méfiez-vous, ils ne sont pas très open. Quand c’est pour acheter une maison et qu’on est blindé ils sont là pour s’en mettre plein les poches mais quand c’est pour nous aider pour des choses plus délicates, ils se cachent derrière des monticules de choses inavouables, voilà« .

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Mathieu a de quoi être sur les nerfs. Ce n’est pas la première déconvenue qu’il rencontre. Il y a quelques jours déjà, il voyait sa GPA menacée par la maladie génétique dont il souffre, la maladie de Cadasil. « Vous savez donc que j’ai cette maladie, qui est une maladie génétique. Et la clinique sur place m’a demandé un échantillon de sang de mes parents et de moi. (…) Et ils m’ont surtout demandé un échantillon de sang de mon papa. Sauf que mon papa est décédé en septembre. C’est compliqué« , a-t-il expliqué. Résultat, des généticiens de la Colombie (où il a entamé le processus) et des généticiens français cherchent actuellement à « repérer le gêne malade dans les futurs embryons pour éviter que mon enfant, fille ou garçon, soit porteur de la maladie« . Et forcément, cela va prendre « beaucoup, beaucoup plus de temps« .

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