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Jacques Chirac aimait les blagues « dégueulasses », Bernadette beaucoup moins… un proche balance !

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Ils se sont aimés pendant de très nombreuses années mais n’avait pas forcément, pour autant, le même humour. C’est ce qu’a raconté Patrick Sébastien, le 28 octobre dernier, dans l’émission « Les Grosses têtes » sur RTL.

On aime Patrick Sébastien pour son humour sans filtre, sa franchise implacable et pour son sens inné de l’imitation. Le présentateur a justement eu l’occasion de donner de la voix sur les ondes de RTL, dans l’émission radio Les Grosses Têtes, présentée par Laurent Ruquier. Le 28 octobre 2022, le chroniqueur Yoann Riou, casque sur les oreilles, lui a effectivement demandé, pour le plus grand plaisir de tous, de se lancer dans la copie vocale d’un très grand ami à lui, malheureusement décédé en septembre 2019 à l’âge de 86 ans. Il s’agit de notre ancien président de la République, Jacques Chirac.

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Bernadette, elle, ne supportait pas ça

« Cela fait très longtemps que je n’ai pas fait mon ami Jacques, a rappelé Patrick Sébastien, avant de ressortir une hilarante anecdote de derrière les f*gots. Mais j’ai de tellement bons souvenirs avec lui. Il y a une histoire avec lui qui est terrible. Il faut savoir que Jacques adorait les blagues dégueulasses. Mais Bernadette, elle, ne supportait pas ça. Et donc, chaque fois qu’on pouvait, il me disait ‘T’en as une nouvelle ?’ Et je me rappelle d’un jour où on est arrivé, c’était un anniversaire et il me demande si j’en ai une« .

Mais elle est très bien cette histoire

La fameuse blague ? Quelle est la différence entre Bernard-Henri Lévy et Pascal Sevran. La réponse ? « Bernard-Henri Lévy a le Petit Robert dans la tête et Pascal Sevran a le gros Roger dans le cul« . En s’autorisant ce trait d’humour extrêmement salace, Patrick Sébastien n’avait cela dit pas repéré Bernardette, juste derrière lui. Et il avait eu droit, ce jour-là, à une curieuse réaction de la part de la prêtresse des pièces jaunes. « Contre toute attente, elle s’approche et elle me dit : ‘Mais elle est très bien cette histoire ! » A ce moment-là, Jacques Chirac avait prié Bernadette de ne jamais répéter la blague par peur qu’elle ne confonde les deux noms. Voilà un souvenir dont elle doit se rappeler, de temps en temps, avec le sourire en pensant à son regretté époux…

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